Matériel

• Feuilles de papiers JAVA

• Livres de contes - livres du Vilain petit Canard - 1 CD de l’histoire -

• Nombreuses images, photos personnelles et prises sur le net (animaux - paysages). L’ordinateur de la classe.

• Nombreuses copies de coloriage à faire. Deux fois 6 grandes feuilles (support pour les textes et images) pour l’exposition.

1er jour

1. Des photos (canards - cygnes blancs) sont mises au tableau noir. Les enfants essayent de deviner de quel conte il s’agit.
    

2. Ensuite, on place des photos de cygnes noirs au tableau noir. On parle de l’adaptation de ce conte sur le continent australien et des changements qu’on va devoir faire concernant les lieux (géographie) mais aussi du type des animaux (sciences). On parle de l’Australie et des Aborigènes (histoire).
    

3. Ensuite, on étudie la possibilité de transférer ce conte en Afrique. Hyènes et lions vont remplacer canards et cygnes.
   
   Première difficulté : comment rendre crédible le fait qu’un lionceau puisse être élevé par une hyène (sciences - connaissance du comportement animal : charge d’un troupeau de buffles qui vient semer le chaos lors de la naissance des petits ...)
   
   Là aussi, on doit tenir compte des lieux et des animaux typiques.
    

4. Ecoute du conte (CD) ‘’le vilain petit canard’’ récité par Marlène Jobert.
    

5. Avec l’aide des plus grands des élèves, les plus jeunes dessinent sur le thème du conte. 
    

6. Les plus âgés des écoliers se partagent en deux groupes. Chacun va travailler un thème particulier (1 = adaptation du conte en Australie - 2 = adaptation du conte en Afrique). Pour cela, chaque groupe reçoit deux copies du texte du vilain petit canard. Textes qu’ils vont pouvoir travailler, modifier à leur guise.
   Dès que le travaille sera avancé, on corrigera, sur l’ordinateur, le texte d’origine qu’on a préalablement écrit.
    

7. Un mot croisé, qui reprend le thème du vilain petit canard, est donné aux plus jeunes. Ils le réalisent avec l’aide des plus âgés; puis ils le colorient.

2e jour

8. On approfondit notre travail avec de nouvelles images au tableau noir (paysages australiens - nouveaux animaux) lors d’un moment d’échange collectif.

9. Deux des plus grands des élèves lisent le conte (l’histoire originale) à l’ensemble des élèves entrecoupé de moments où ils montrent les illustrations à l’assistance.
   Après la lecture, les deux lecteurs posent des questions aux élèves sur le conte qui vient d’être lu.

10. Débat sur ce que cherche à nous dire l’auteur de ce conte, son objectif, etc.

11. Les plus jeunes des enfants poursuivent le coloriage d’animaux et personnages en rapport avec les contes en général et aussi avec celui qu’on travaille.
    Les plus grands des écoliers poursuivent leur travail d’écriture.

3e jour

12. Dessins, coloriages et travail sur l’écriture sont toujours d'actualité. En plus, on commence à préparer les deux séries de panneaux sur lesquels on fixera les textes, les dessins et les coloriages réalisés par les enfants du groupe.

13. Lors de cette journée, on reçoit la visite de la maman d’une des élèves de notre groupe. Avec sa fille, elle va conter une histoire africaine. Synchronicité, dans ce conte, un des personnages n’est autre qu’une hyène ...

4e jour

14. Les plus âgés doivent apprendre à ‘’découper’’ leur texte de manière homogène en fonction du nombre de panneaux (6 par histoire)

15. On termine les textes, les coloriages et dessins. Ceux-ci sont ensuite placés sur les panneaux dans le couloir.

16. Soirée portes ouvertes avec les parents (17h00 à 20h00)